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À paraître

CEF_624_Copertina-FB Cogné Albane, et alii (dir.) 

Le élites italiane e la Monarchia ispanica (secoli XVI-XVII)


Lo studio delle modalità con cui le élites italiane parteciparono alla gestione territoriale, politica, militare e religiosa della Monarchia ispanica, nei secoli XVI e XVII, evidenziano i vari gradi e forme del loro apporto all’egemonia spagnola attraverso traiettorie ben note alla storiografia. Questo libro si inserisce nei dibattiti attuali sulle configurazioni territoriali di un impero globale come quello spagnolo, mettendo in relazione i servizi resi alla Corona, le forme di mobilità ad essa associate e l’acquisizione di segni di distinzione sociale. L’approccio adottato combina una prospettiva prosopografica basata sull’analisi delle carriere dei membri di corpi professionali al servizio della monarchia (ecclesiastici, togati, finanzieri, imprenditori della guerra) e dei destinatari delle principali dignità della Monarchia (Toson d’oro, Grandato, ordini militari castigliani) con l’analisi dei percorsi individuali e familiari. Mira inoltre ad offrire una migliore comprensione delle gerarchie socio-politiche e dei fondamenti dell’egemonia spagnola nell’Italia dei secoli XVI e XVII.

Albane Cogné è docente di Storia all’Università di Tours e specialista di storia urbana, sociale e politica dell’Italia in età moderna.
Benoît Maréchaux è ricercatore presso il dipartimento di Storia Moderna e Contemporanea dell’Università Complutense di Madrid.


Collection de l'École française de Rome 624
Rome: École française de Rome, 2024
532 p., ill. coul. et n/b
ISBN:  978-2-7283-1832-2
Prix: € 
État: À paraître

BEFAR_413_plat_1 Pierre-Bénigne Dufouleur

Léguer sans fils, hériter sans père. Transmission et légitimation du pouvoir chez les cardinaux du Quattrocento


Les cardinaux se conforment de plus en plus au Quattrocento à un mode de vie princier, dans lequel l’hérédité est la règle. Toutefois, ils sont soumis au célibat ecclésiastique qui leur interdit de transmettre leurs pouvoirs et leurs richesses à d’éventuels enfants. En outre, le patrimoine qu’ils se constituent est principalement composé de dignités, de bénéfices et de biens de l’Église qui sont en théorie inaliénables.
Face à cette tension, les sénateurs de l’Église parviennent à contourner la norme en mettant en place des stratégies de transmission élaborées. Ils héritent bien souvent du cardinalat et de biens ecclésiastiques d’un de leurs parents et réussissent à les léguer à leur tour. À l’inverse, les aspirants à la pourpre et les nouveaux venus dans le Sacré Collège s’appuient, lorsqu’ils en ont l’occasion, sur ces relations de parenté pour légitimer leur position sociale.
Ces successions de cardinaux appartenant à la même famille aboutissent à la création de dynasties cardinalices qui se multiplient à partir de la seconde moitié du XVe siècle. La figure du cardinal lignager connaît alors son apogée avant de s’éclipser largement avec la réforme tridentine.
 
Pierre-Bénigne Dufouleur est agrégé d'histoire et docteur en études médiévales (Sorbonne Université). Il est ancien membre de l'École française de Rome et actuellement fellow de la Villa I Tatti de Florence (The Harvard University Center for Italian Renaissance Studies).


Bibliothèque des Écoles françaises d'Athènes et de Rome 413
Rome: École française de Rome, 2025
608 p., ill. n/b et coul.
ISBN:  978-2-7283-1623-6
Prix: € 38
État: À paraître

CEF 618_GALASSO_9782728316090 copie Serena Galasso

Le droit de compter. Les livres de gestion et de mémoires des femmes (Florence, XVe-XVe siècles)


La famille et la société florentines de la fin du Moyen Âge sont sans doute parmi les plus rigoureusement patrilinéaires de l’Italie du centre-nord. Les femmes, écartées de la succession paternelle et maternelle, et asservies aux stratégies matrimoniales des familles, disposent d’une capacité d’agir assez limitée.
Cet ouvrage revient sur cette interprétation pour la nuancer et l’enrichir d’une perspective nouvelle grâce à l’analyse d’une documentation jusqu’à présent totalement inexplorée : les livres de gestion et de ricordanze tenus par les femmes des élites de  la cité.
Au cours de leur vie d’épouse et, plus souvent, durant leur veu-vage, ces Florentines pouvaient en effet entreprendre la rédaction de registres personnels pour gérer non seulement des biens de famille mais également leur propre patrimoine et consigner tous les actes utiles à leur administration. Par le biais de l’écrit, elles négociaient leurs capacités de gestionnaire et leur rôle au sein de la parenté, et protégeaient leurs intérêts en déjouant les normes de la succession patrilinéaire ; enfin, elles contribuaient activement à la production de la mémoire familiale.
La découverte et l’exploitation minutieuse de plus de deux cents livres de comptes révèlent que cette pratique d’enregistrement et de mise en  mémoire n’était pas un monopole masculin, contri-buant ainsi au renouvellement de l’historiographie sur les rap-ports de genre dans la famille et la société de la Renaissance.
 
Serena Galasso, docteure en histoire médiévale (École des hautes études en sciences sociales), est actuellement chercheuse postdoctorale à l’uni-versité de Padoue. Ses recherches portent principalement sur les rapports de genre, les pratiques d’écriture et la culture matérielle des sociétés urbaines du second Moyen Âge.
La thèse dont cet ouvrage est issu a reçu le prix en lettres et sciences humaines décerné par la Chancellerie des universités de Paris en 2022.


Collection de l'École française de Rome 618
Rome: École française de Rome, 2025
600 p., ill. n/b et coul.
ISBN:  978-2-7283-1609-0
Prix: € 38
État: À paraître

01_couvPlat1-28mai Christian Mazet, Paolo Tomassini

Un musée pour l’École. La collection d’antiques de l’École française de Rome


À l’automne 1875 naissait officiellement l’École française de Rome, institution de recherche installée au palais Farnèse, destinée à la formation de jeunes historiens et archéologues.
Son premier directeur, Auguste Geffroy (1820-1895), décida alors de constituer une collection d’antiques afin d’initier les membres aux sciences de l’Antiquité par la pratique de l’objet archéologique. Vases grecs et étrusques, matériels des premières fouilles de l’École, sculptures et terres cuites d’époque romaine, bas-reliefs et éléments de décors : plus de 300 pièces représentant un large échantillon des productions matérielles de l’Italie antique furent ainsi patiemment réunies dans l’objectif de fonder un musée didactique, mais qui ne vit jamais réellement le jour.
Près de 150 ans après sa conception originelle, après de nouvelles recherches sur la provenance de ces objets, leur restauration et leur exposition dans les locaux de l’École en 2024, cette collection encore largement inédite est présentée ici pour la première fois. À travers plus de 400 photographies et une soixantaine de dessins originaux, le musée imaginé par Geffroy ouvre enfin ses portes et commence une nouvelle vie.
 
Projet soutenu par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (2023),  le Centre Jean Bérard (UAR 3133, CNRS-EFR), l’Associa tion des Amis de l’École française de Rome et le Réseau des Écoles françaises à l’étranger.


Hors collection
Rome: École française de Rome, 2025
208 p., ill. coul.
ISBN:  978-2-7283-1807-0
Prix: € 32
État: À paraître