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Antiquité Moyen Âge Époque moderne et contemporaine Toutes les nouveautés À paraître


CEF_597_couverture Joël Chandelier, Aurélien Robert (dir.) 

Savoirs profanes dans les ordres mendiants en Italie (XIIIe-XVe siècle)


Les ordres mendiants (Franciscains, Dominicains mais aussi Ermites de saint Augustin ou Carmes) ont joué un rôle majeur dans la production du savoir à la fin du Moyen Âge. Auteurs de nombreux ouvrages dans tous les domaines de la culture, ils ont aussi largement contribué à la diffusion des manuscrits et des idées ainsi qu’à l’approfondissement des disciplines, grâce aux lieux d’enseignement et de débat abrités dans les couvents. Or, si ces ordres ont été largement étudiés pour leurs apports en théologie, leur place dans le développement des savoirs dits profanes, c’est-à-dire non liés à leur vocation religieuse, a été moins souvent abordée. Pourtant, tout autant producteurs que passeurs de savoirs, les Mendiants ont contribué de manière décisive à la redéfinition et l’essor des disciplines enseignées dans les universités ou pratiquées dans les cours.

 

Joël Chandelier est maître de conférences en histoire médiévale à l’Université Paris 8. Il étudie la science arabe et les conditions de sa transmission à l’Occident médiéval, dans leurs aspects tant intellectuels que sociaux.

Aurélien Robert est chargé de recherche au CNRS (Centre d’Études Supérieures de la Renaissance). Il étudie la philosophie de la fin du Moyen Âge, mais aussi les rapports entre philosophie, théologie et médecine.

 

 


Collection de l'École française de Rome 597
Rome: École française de Rome, 2023
636 p.
ISBN:  978-2-7283-1553-6
Prix: € 34


Version en ligne OpenEdition Books

LefeuvreCouverture Philippe Lefeuvre

Notables et notabilité dans le contado florentin des XIIe-XIIIe siècles


Étroitement associé au triomphe de la ville, le nom de Florence évoque l’éclosion d’une culture politique et sociale contenue aux murs de la cité. La documentation conservée par les institutions ecclésiastiques témoigne du dynamisme précoce des sociétés rurales. En prenant pour cadre le quart sud-est du contado florentin, l’ouvrage met en lumière la participation et la résistance des populations rurales au processus de formation d’un territoire dominé par la cité. On s’intéresse ici à une mosaïque de sociétés dont la structure sociale ne se résume pas à l’opposition frontale entre seigneurs et paysans. Riches tenanciers, intermédiaires seigneuriaux, artisans ruraux, notaires, clercs et frères convers viennent compliquer le panorama. Ils participent à la formation d’un milieu de notables affranchis, au moins partiellement, des contraintes les plus pressantes du travail contraint ou vivrier. À travers l’étude de ces notables, l’ouvrage interroge les ressorts et l’évolution de la domination sociale dans une période de profonde transformation des structures politiques et économiques.

Agrégé d’histoire, Philippe Lefeuvre est ancien élève de l’ENS-Ulm et ancien membre de l’EFR. Ses recherches portent sur l’encadrement seigneurial de la paysannerie aux siècles centraux du Moyen Âge et sur la définition de ses rapports avec la ville et les populations urbaines.


Bibliothèque des Écoles françaises d'Athènes et de Rome 402
Roma: École française de Rome, 2023
428 p.
ISBN:  978-2-7283-1543-7 papier - 978-2-7283-1544-4 en ligne
Prix: € 35


Version en ligne OpenEdition Books